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[Revue du web] Semaine du 13/02/17

Revue du web

Gestion d'une fondation, don intégré, micro-don ... vous saurez tout grâce à la revue du web de la semaine !

Mécénat d'entreprise, changement de culture

En raison de son histoire, le mécénat reste perçu comme une façon de soutenir la culture. Pourtant, les entreprises mécènes agissent dans de nombreux domaines. Certains apparaissent prioritaires en temps de crise. Ainsi, l’action sociale, l’éducation et l’insertion professionnelle figurent parmi les principaux champs d’intervention. La culture n’est pas délaissée pour autant, elle connaît un regain d’intérêt grâce au mécénat dit croisé. Les pratiques des petites et grandes entreprises diffèrent, mais la prise en charge du secteur de la jeunesse ne cesse de croître. Les mécènes cherchent à favoriser l’esprit d’entreprendre et l’économie sociale, nouveaux remèdes potentiels aux problèmes sociaux.

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"Philanthrope, ça fait sec et prétentieux. Dans la vie, on s'invente. Puis on s'implique enfin dans des choses qui nous touchent"

A l'heure où sa maison change de logo, la créatrice-écrivaine reste très impliquée dans la Diller-von Fürstenberg Family Foundation, une organisation dont les priorités sont l'éducation, l'art, l'environnement ou les droits de l'Homme. 

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Et si demain il ne fallait plus faire un don pour donner ?

Finis le paiement par chèque ou carte bleue ! Pour soutenir une cause, une fondation ou une association, place au don "intégré".

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Le micro-don : une nouvelle façon de donner

Les Français continuent d'être plutôt généreux, par contre, la question se pose de comment amplifier ce mouvement et impliquer les plus jeunes.

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Les fondations en relais des pouvoirs publics

Si l'Etat et les collectivités ont longtemps été les garants de l'intérêt général, la maîtrise du secteur du mécénat, des projets associatifs et de l'intervention sociale est lentement en train de passer enre les mains de la société civile. Entrepreneurs, particuliers, fondations et entreprises prennent en effet en charge, avec des moyens qui ne concurrencent toutefois pas ceux de l'Etat, une partie de la gestion des crises et des difficultés subies par la population française. Créer et faire prospérer une fondation n'est toutefois pas chose facile, raison pour laquelle des viviers de compétences se sont constitués pour répondre à la demande croissante des aspirants fondateurs en matière d'assistance juridique et financière.

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