Deux lauréats de la Fondation Gan en tournage cet été !
En avril, la Fondation Gan pour le cinéma dévoilait les deux premiers lauréats de l’année 2019. Marion Desseigne Ravel et Andrés Ramirez Pulido ont chacun reçu une aide de 53 000 € pour leur premier long métrage. Cet été, Marion Desseigne Ravel et Vincent le Port, lauréat 2018 de la fondation, commencent leur tournage.
La Fondation Gan pour le cinéma s’engage depuis 30 ans pour accompagner les réalisateurs et les aider à faire leurs premiers pas. En 2019, la Fondation peut être fière d’avoir déjà soutenu plus de 190 cinéastes. Chaque lauréat bénéficie d’une aide de 53 000 €, dont 50 000 € pour le producteur et 3 000 € pour le réalisateur.
En 2019, deux réalisateurs ont été mis à l’honneur. Les autres lauréats 2019 seront annoncés le 25 novembre prochain.
La première lauréaten Marion Desseigne Ravel, est récompensée pour son projet de film LES MEILLEURES, coproduit par 31 Juin Films et Tripode Productions. Cet été, la réalisatrice commence le tournage, tout comme Vincent le Port, lauréat 2018 de la Fondation Gan pour BRUNO REIDAL.
« LES MEILLEURES n'est pas un film réaliste ou social. Si je m'appuie sur mon expérience de terrain, je vois avant tout ce film comme romanesque. C'est une histoire d'amour. »
Marion Desseigne Ravel
Le second lauréat 2019, Andrés Ramirez Pulido, a été récompensé pour son film LA JAURÍA (LA MEUTE). Produit par Alta Rocca Films, ce premier long métrage mettra en scène des adolescents dans un centre pénitentiaire expérimental pour mineurs, au milieu de la jungle colombienne.
« En tant que réalisateur, j’ai à coeur de nouer des liens étroits avec les adolescents en passant du temps avec eux et en essayant de connaître leur façon de penser, leurs expériences personnelles, leurs peurs et leurs désirs. Je donnerai la possibilité à Eliú et aux autres protagonistes d’être eux-mêmes devant la caméra, de pouvoir proposer qui ils sont lors du tournage. Je les inciterai à improviser, énoncerai des scènes, des situations de jeu qu’ils pourront s’approprier : l’idée est qu’ils s’emparent de l’histoire, qu’ils l’adoptent. »
Andrés Ramirez Pulido
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