|    25 Avril 2017

Le « Great East Japan Earthquake Restoration Fund » (GBFund) évolue et devient le « Disaster Recovery Support Fund »

Au Japon, la récurrence des catastrophes naturelle pousse l'Etat et les associations à s'adapter afin de répondre au mieux aux urgences du pays. Exemple de cette nécessité, le GBFund qui a décidé récemment de faire évoluer sa structure pour étendre ses actions.

Initialement créé par « l’Association des mécènes pour l’art » (Kigyo Mecenat Kyogikai) pour participer à la reconstruction des zones touchées par le tsunami de mars 2011 via les arts et la culture, le GBFund n’était supposé exister que pendant 5 ans. Mais le Japon, qui rencontre régulièrement des désastres imprévisibles, a continuellement besoin de soutien. Voilà pourquoi l’association a décidé de prolonger son action, dans le temps et sur l’ensemble du territoire. Un programme campagne de collecte de dons a ainsi été lancé le 6 mars et s’est achevée le 20 avril.

 

Pour cette association, l’art et la culture ont le pouvoir de réunir les gens en communautés : pour retrouver les anciennes disloquées suite aux catastrophes naturelles ; et même  en créer de nouvelles, stimulant ainsi la résilience des hommes vivant dans les régions sinistrées.

 

Pour en savoir plus :

> Sur l’ Association for Corporate Support of the Arts

> Sur le GBFund

 

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